“L’étoile partagée”

Ils ne cherchent pas à posséder la lumière,
mais à la partager.
Chacun sur sa moitié de ciel, ils s’offrent un point de rencontre : une étoile douce, simple et rayonnante.

Ce n’est pas une conquête, c’est une offrande.
Pas une lutte, mais un accord silencieux :
je tiens si tu tiens, je brille si tu brilles.

Dans l’équilibre tendre entre les différences,
ils ne fondent pas l’un dans l’autre
ils coexistent, reliés par ce qu’ils choisissent de porter ensemble.

“Frissons de joie”

Un éclat de rire glisse sur la toile, aussi léger qu’un soupir d’enfant dans le vent.
Il y a dans ce regard de braise une audace tendre, comme si le monde n’était qu’un jeu à apprivoiser.

Son cœur, doux, joueur, presque moqueur.
Un esprit pas tout à fait d’ici, mais bien ancré dans la joie d’exister.

Tout vibre d’une énergie malicieuse, comme une fête secrète dans l’ombre, où l’on danse sans peur, et où le bizarre devient beau.

“Ambivalence”

Menaçant, attachant,
il pose sur vous un regard perdu.
Inquiétant, mais charmant,
il vous adresse un sourire fourbu.
Son ouate chargée de souvenirs,
laisse perler du sang.
A la fois meilleur et pire,
il est ambivalant

“Lunaland”

Au bout du chemin de lumière,
s’élève le château aux toits orangés,
refuge de tous les rêves égarés.

La princesse Luna y veille, douce et farouche,
le regard rempli d’aurores,
main tendue vers ceux qui cherchent
la paix des songes éveillés.

Dans ce royaume,
les soucis fondent comme givre sous les rires,
les couleurs dansent sur les murs,
et chaque visiteur retrouve
sa part d’enfance oubliée.

À Lunaland, l’espoir a la forme d’un sourire,
et le bonheur,
la simplicité d’un conte qu’on se raconte
à la tombée du soir.

“Plénitude”

Trois cœurs en pause,
un battement pour trois plumes.
Le ciel respire doucement,
pendant qu’une branche
porte le poids
de l’amour qui veille.

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